Tag: réchauffement climatique

Environnement : 2012, année record pour les gaz à effet de serre

Les trois principaux gaz à effet de serre, à l’origine du réchauffement climatique, ont franchi de nouveaux records de concentration en 2012 dans le monde selon l’Organisation météorologique mondiale qui dépend de l’ONU.

1533935940Le CO2 reste le principal gaz à effet de serre – AFP

Mauvaise nouvelle pour la planète. En dépit des discours et des efforts déployés, notamment au niveau européen, les émissions de gaz à effet de serre sont loin d’être maîtrisées. Bien au contraire. Selon l’Organisation météorologique mondiale (OMM), une agence de l’ONU, les trois principaux gaz à effet de serre, à l’origine du réchauffement climatique, ont franchi de nouveaux records de concentration en 2012 dans le monde. Les dernières analyses montrent « que les fractions molaires du dioxyde de carbone (CO2), du méthane(CH4) et du protoxyde d’azote (N20) ont atteint de nouveaux pics en 2012 », écrit l’OMM dans son bulletin sur les gaz à effet de serre publié à Genève.

Selon Michel Jarraud, Secrétaire général de l’OMM, si le monde continue sur cette voie, « la température moyenne du globe à la fin du siècle pourrait dépasser de 4,6 degrés ce qu’elle était avant l’ère industrielle, et même plus dans certains régions, les conséquences seraient catastrophiques ».
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5e rapport du GIEC : le réchauffement climatique est « sans équivoque »

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6 ans après le 4ème rapport du Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat (GIEC), son président, le Dr Rajendra Pachauri, a présenté le Volume 1 « Changement climatique 2013 : les éléments scientifiques » du 5e rapport d’évaluation, suite à l’adoption du résumé à l’attention des décideurs. Consacré aux « éléments physiques du climat », ce volume 1 évalue les aspects scientifiques du système climatique et de l’évolution du climat. Décryptage et synthèse d’un bouleversement colossal largement sous-estimé.

Ce premier volume présente les faits, tels qu’ils sont observés et étudiés à travers le monde par des milliers de scientifiques. Ainsi, plus de 9 200 études ont été passées en revue par des milliers de contributeurs, relecteurs, auteurs et coordinateurs provenant de près de 40 pays différents. Ce rapport apporte de nouveaux sur la base de nombreuses analyses scientifiques indépendantes d’observation du système climatique, d’archives paléoclimatiques, d’études théoriques jusqu’aux simulations climatiques pour modéliser notre climat futur.

Objectif : fournir aux décideurs et au grand public un état des connaissances consensuel sur le changement climatique.

Ce premier volume présente les faits, tels qu’ils sont observés et étudiés à travers le monde par des milliers de scientifiques. Ainsi, plus de 9 200 études ont été passées en revue par des milliers de contributeurs, relecteurs, auteurs et coordinateurs provenant de près de 40 pays différents. Ce rapport apporte de nouveaux sur la base de nombreuses analyses scientifiques indépendantes d’observation du système climatique, d’archives paléoclimatiques, d’études théoriques jusqu’aux simulations climatiques pour modéliser notre climat futur.

Objectif : fournir aux décideurs et au grand public un état des connaissances consensuel[4] sur le changement climatique.

Source: http://www.notre-planete.info/actualites/3812-rapport-5-changement-climatique-GIEC

GIEC: Les points essentiels à retenir du volume… par developpement-durable
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Quatre mesures à prendre dès aujourd’hui pour réduire les émissions

L’Agence Internationale pour l’Energie (IAE) encourage les nations à prendre quatre mesures dès aujourd’hui pour réduire les émissions mondiales de gaz à effet de serre, sans attendre la signature d’un nouvel accord international sur la question.

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Les gouvernements ne devraient pas attendre la signature d’un accord climatique international qui devrait être conclu en 2020, ils peuvent prendre quatre mesures dès aujourd’hui pour réduire les émissions de dioxyde de carbone (CO2), d’après un nouveau rapport publié par un groupe de réflexion mondial sur l’énergie.

 

En mettant en place ce quartet de politiques d’ici 2015, les nations pourraient « gagner un temps précieux pendant que les négociations climatiques internationales se poursuivront » a déclaré l’économiste Fatih Birol, le principal auteur d’un rapport publié par l’Agence Internationale de l’Energie (IEA).

Lors d’un sommet des Nations Unies actuellement en cours à Bonn en Allemagne, des envoyés climatiques discutent d’un accord sur le changement climatique qu’ils espèrent conclure d’ici 2015 et faire appliquer en 2020. Mais les températures mondiales moyennes continueront à augmenter considérablement si les nations se contentent d’attendre jusque là, d’après le rapport de l’IEA baptisé Redessiner la Carte Energie-Climat.

 

 

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Les émissions mondiales de gaz à effet de serre atteignent des records en 2012

La Chine a mené une hausse des émissions mondiales de dioxyde de carbone à un niveau record en 2012, faisant plus que compenser les chutes des émissions aux États-Unis et en Europe, d’après ce que l’Agence internationale de l’énergie (AIE) a déclaré lundi.

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Les émissions mondiales de CO2 ont augmenté de 1,4% pour atteindre 31,6 milliards de tonnes, d’après les estimations de l’AIE.

La Chine est le plus grand émetteur et a fait la plus grande contribution à l’augmentation mondiale, rejetant 300 millions de tonnes supplémentaires. Mais cette augmentation est l’une des moins importantes que la Chine ait enregistré en dix ans, grâce à ses efforts pour adopter des sources renouvelables d’énergie et améliorer son efficience énergétique.

 

Les émissions mondiales de dioxyde de carbone ont augmenté de 1,4% pour atteindre 31,6 milliards de tonnes

Aux Etats-Unis, un passage du charbon au gaz pour la production d’électricité a aidé à réduire les émissions de 200 millions de tonnes, ce qui ramène le pays à son niveau du milieu des années 1990.

 

Bien que l’utilisation du charbon ait augmenté dans certains pays européens l’an dernier du fait des prix bas, les émissions en Europe ont décliné de 50 millions de tonnes à cause du ralentissement économique, de la croissance des énergies renouvelables, et des seuils d’émissions imposés aux compagnies industrielles et électriques, d’après ce qu’a indiqué l’AIE .

Les émissions de CO2 du Japon ont augmenté de 70 millions de tonnes, alors que les efforts pour améliorer l’efficience énergétique ont échoué à compenser l’utilisation croissante de carburants fossiles après l’accident nucléaire de Fukushima en 2011.

 Les scientifiques affirment que l’augmentation des températures moyennes mondiales doit être limitée à moins de 2°C au cours du siècle pour éviter les effets climatiques dévastateurs tels que de mauvaises récoltes ou la fonte des glaciers.
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Facteur 4 : la France n’est pas sur la bonne voie

Le CGEDD (Conseil général de l’environnement et du développement durable) publie un rapport qui fustige le respect formel et en trompe l’œil des engagements climatiques français et européens. Pire les efforts sont remis à plus tard. La solution ? Assurer une hausse régulière du prix des énergies fossiles.
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Mardi 16 avril 2013, le ministère de l’Ecologie a publié un rapport particulièrement critique sur « le facteur 4 en France », c’est-à-dire l’objectif de division par 4 des émissions de gaz à effet de serre (GES) à l’horizon 2050.

Le document, rédigé par le Conseil général de l’environnement et du développement durable (CGEDD), rend compte de la réalisation des engagements français à long terme en matière de réduction des émissions de GES. Pour cela, il dresse un bilan des trajectoires actuelles par rapport aux prévisions et il propose des pistes pour répartir l’effort entre les secteurs de l’économie.

Préférence injustifiée pour le présent

La France, est-elle bon élève en matière de climat ? Pas vraiment, selon le document qui souligne que « la France respecte formellement ses engagements au titre du protocole de Kyoto, mais il s’agit d’un résultat en trompe l’œil : l’« empreinte carbone » par habitant des Français a augmenté de 15% en 20 ans si on prend en compte le solde des échanges extérieurs de GES ».

Et l’Union européenne ? Même constat. « Le paquet climat-énergie européen (…) reporte de manière injustifiée les efforts à plus tard », critique le rapport, dénonçant « un rythme faible de diminution relative des émissions entre 1990 et 2020 (20% en 30 ans soit 0,7% par an) puis un rythme croissant de diminution de décennie en décennie pour imposer à nos successeurs des années 2040 à 2050 un rythme insoutenable, sauf miracle technologique (plus de 6% par an) ». Et de conclure : « rien ne justifie une telle préférence pour le présent ».
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Vers un réchauffement climatique de 5°C

réchauffement climatique
Le Global Carbon Projet (GCP) publie chaque année dans la Revue Nature Climate Change une analyse des émissions globales de carbone issues de la combustion d’énergies fossiles. Les résultats une nouvelle fois décevant de 2012 montrent que des mesures d’atténuation du changement climatique sont plus que jamais indispensables et urgentes pour éviter une dangereuse augmentation des températures.

Une augmentation continue des émissions de CO2


Selon l’étude du GCP, les émissions de dioxyde de carbone ont augmenté de 3% en 2011 pour atteindre 34,7 milliards de tonnes, et devraient avoir augmenté de 2,6% en 2012. Ainsi, de 2000 à 2011, la croissance des émissions mondiales a été de 3,1% par an en moyenne, loin des réductions envisagées par le protocole de Kyoto. En effet, les émissions auraient dû être stabilisées à leur niveau de 1990. Si la tendance se poursuit, la température globale moyenne augmentera probablement de 5°C en 2100.
Ainsi, les émissions mondiales de CO2 continuent de suivre les scénarios d’émissions les plus pessimistes (dits « business as usual »), accroissant l’écart entre les émissions actuelles et celles nécessaires pour contenir le réchauffement à 2°C.

Un espoir incertain : les avancées technologiques futures


Il semblerait que nous nous reposions désormais sur les avancées technologiques à long terme, telle que la capture et le stockage de carbone (CSC). Or, le CSC est pour l’heure très coûteux. Il est donc expérimenté essentiellement dans des pays riches : Norvège, Allemagne, Canada, USA, Danemark, etc. « Nous nous reposons en effet sur des technologies qui doivent être développées, ce qui nous amène à d’importantes incertitudes, notamment de savoir à quel point elles pourraient contribuer à une atténuation future du changement climatique. » a déclaré le directeur de l’étude, Glen Peters du CICERO.

L’inertie mondiale empêche des mesures d’atténuation du changement climatique


L’augmentation continue des émissions de dioxyde de carbone confirme les effets de la crise financière, et pourrait nous maintenir définitivement dans l’un des pires scénarios. « Il y a une inertie considérable dans les systèmes politiques, techniques et sociaux, et même si un accord global ambitieux était trouvé à Doha, cela pourrait prendre plus d’une décennie avant que les émissions commencent à diminuer. » écrivait le co-auteur de l’étude, Robbie Andrew du CICERO, avant la tenue de la 18e conférence sur le climat qui s’est tenue à Doha (Qatar) du 26 novembre au 7 décembre 2012. Malheureusement, la conférence de Doha n’a donné lieu qu’à un maigre accord arraché de justesse aux pays réfractaires.
Toutefois, les efforts de transition énergétique menés par le passé en Belgique, au Danemark, en France, en Suède et au Royaume-Uni ont conduit les émissions à diminuer de 5% par an sur une décennie, même sans politique climatique. Le GCP oublie toutefois que les émissions de ces pays ont été réduites également grâce à la délocalisation d’un grand nombre d’activités industrielles et manufacturières dans les pays en voie de développement.
« Étendre des transitions énergétiques similaires à plus de pays pourrait relancer l’atténuation globale à moindres coûts. Maintenir et approfondir ces transitions énergétiques dans un grand nombre de pays demanderait que des politiques soient menées avec énergie et détermination » a déclaré Glen Peters. « Les troubles économiques incessants dans les pays développés ont réduit les émissions, mais ces effets sont plus que compensés par la forte croissance des émissions dans les économies en développement comme la Chine. »
L’étude montre que les émissions globales en 2011 ont augmenté de moitié par rapport à celles de 1990, date de référence du Protocole de Kyoto. Quelques pays développés en Europe ont largement stabilisé leurs émissions en dessous des niveaux de 1990, l’essentiel de la croissance des émissions venant des économies émergentes.

La Chine, premier pollueur mondial, émet de plus en plus de CO2


En 2011, la Chine rejetait plus de 9 milliards de tonnes de dioxyde de carbone, loin devant les Etats-Unis (5,4 milliards de tonnes), l’Inde (2,3 milliards de tonnes), la Russie (1,7 milliard de tonnes), le Japon (1,2 milliard de tonnes) et l’Allemagne (0,7 milliard de tonnes). La France émettait 0,3 milliard de tonnes de CO2 en 2011.
Les émissions chinoises ont augmenté de 10% en 2011 (plus 800 millions de tonnes de carbone, l’équivalent de ce que l’Allemagne émet en un an). Désormais, La Chine émet autant que l’Union européenne sur une base par habitant, soit environ 36% de plus que la moyenne mondiale des émissions par habitant. Rappelons que depuis 2006, la Chine est devenue le premier émetteur de CO2 dans le monde.
« De fortes croissances des émissions dans les pays en développement changent en permanence la distribution mondiale des émissions, et les arguments d’équité qui étaient avancés en 1990 ne sont plus valables aujourd’hui » a déclaré Peters.
En effet, dans les années 1990, les pays en voie de développement représentaient seulement 35% des émissions globales de CO2, contre 58% en 2011 : dorénavant, les émissions de CO2 proviennent donc majoritairement des pays en voie de développement.

Un changement nécessaire et urgent, mais difficile à mettre en place


« Chaque année, l’augmentation des émissions rendent la cible des 2°C un peu plus difficile à atteindre. Le seul moyen envisageable de contenir le réchauffement à 2°C est de réduire les émissions globales, et ceci ne pourra arriver que si les plus grand émetteurs dans les pays développés et en développement mettent en place des mesures d’atténuations ambitieuses et continues. » D’or et déjà en 2011 l’Agence Internationale de l’Energie affirmait que l’objectif de 2°C était hors d’atteinte, ce qui ne laisse rien présager de bon pour la suite.
« J’ai peur que des les risques d’un changement dangereux du climat soient trop importants dans notre trajectoire actuelle », a déclaré Corinne Le Quéré, co-auteure de l’étude, directrice du Centre Tyndall pour la recherche sur le changement climatique à Norwich (Royaume-Uni) et professeure à l’université d’East Anglia (Norwich). « Nous devons inverser la tendance avant 2020, des pays l’ont déjà fait par le passé et nous pouvons le faire à l’échelle mondiale. Tout le monde a un rôle. » a-t-elle ajouté.
Cette recherche est basée sur la mise à disposition d’un grand ensemble de données par le GCP, publié simultanément dans Nature Climate Change et Earth System Science Data.

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Après Doha, la négociation sur le climat est affaiblie


Les négociations sur le climat se sont finalement achevées sur un accord a minima, samedi 8 décembre à Doha, après avoir joué les prolongations pendant vingt-quatre heures. Ce bilan, qu’aucun pays n’a osé juger satisfaisant, est préoccupant à double titre.

Sur le fond, il confirme le manque de volonté politique d’agir avec détermination pour lutter contre le réchauffement. Sur la forme, il traduit une dérive dans la conduite de cette échéance annuelle, alors que la confiance sera une condition importante dans la construction de l’accord mondial qui doit être scellé 2015.

Pour ne pas sortir de Doha les mains vides, le président de la conférence, le vice-premier ministre du Qatar Abdullah Al-Attiyah, a choisi de passer en force, bousculant de façon grossière quatre pays : l’Ukraine, la Biélorussie, le Kazakhstan et la Russie. Cette dernière s’exposait davantage par solidarité que pour son propre compte : les trois pays de l’ex-bloc soviétique font partie des Etats qui s’engagent dans la seconde période du protocole de Kyoto, qui débutera le 1er janvier 2013.

Ils risquent d’être pénalisés par les nouvelles règles d’utilisation des crédits carbone hérités de la première période, cet « air chaud » qui a tant agité la conférence de Doha. De l’aveu de plusieurs négociateurs, le travail habituel de consultation destiné à désamorcer les conflits n’a pas été mené. Les pays en question ont été mis au pied du mur au dernier moment.
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Les calottes glaciaires du Groenland et de l’Antarctique fondent de plus en plus vite


Grâce aux observations satellitaires, la fonte des calottes glaciaires a pu être enregistrée avec précision durant ces deux dernières décennies, un laps de temps durant lequel la mesure de la quantité exacte de banquise disparue au Groenland ou en Antarctique était encore controversée car les méthodes de calcul employées donnaient des résultats contradictoires. En effet dans son rapport sur le climat de 2007, le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat créé en 1988) n’avait pas pu estimer si les glaces du pôle Sud subissaient une expansion ou un rétrécissement.
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Réchauffement climatique

Confirmation de la fonte record de la mer de glace Arctique en 2012

La fonte de la mer de glace a atteint un niveau record en 2012, avec une superficie de 3,42 millions de km² le 16 Septembre.

La mer de glace Arctique, un indicateur clé du changement climatique, a fondu jusqu’à atteindre son nouveau record le plus bas cette année, avant de commencer sa gelée automnale, d’après ce que des chercheurs du Centre National américain de Données pour la Glace et la Neige (NSIDC) ont déclaré dans un communiqué du 19/09/2012.

L’Arctique est un faiseur de climat important pour la zone tempérée et il est parfois surnommé « le système de climatisation de la Terre », pour ses effets de refroidissement sur le climat mondial.

Cependant, alors que la glace disparaît et que les températures augmentent dans le grand nord, l’Arctique pourrait ajouter davantage de chaleur et d’humidité dans le système climatique planétaire.

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Sur cette carte de la banquise prise le 26 août on voit la superficie la plus petite qu’elle ait jamais atteinte, montrant une fonte record depuis 30 années d’enregistrement de données satellites.

Les données sont fournies par le satellite Imager à ondes courtes du programme militaire américain de météorologie. La ligne orange montre la frontière minimale de la banquise de la période 1979-2010.

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